🪚 Merci à tous pour votre participation active et efficace aux deux journées de travaux ! 🔧
Les objectifs ont été atteints, enfin… pour la plupart :
Couper la végétation le long du quai et au dessus du local à essence,
Nettoyer le hangar et l’atelier, notamment les toiles d’araignées 🕷 (sandouiches araignées-cornichons excellents),
Cimenter l’arrivée électrique de la grue,
Redisposer les vicieux taquets blancs à visser le long du quai,
Remonter les prolongements métalliques de la cale et les fixer si possible,
Poser une étagère dans la voilerie des propriétaires ; couper le support des moteurs,
Faire un premier tri des vieux mâts du hangar (ou un vieux tri des premiers mâts),
Ranger les tables, drapeaux, tuyaux, etc.
Empatagoincer le cale-bigornier et ratamoulinarder les contrétarqueurs des poulaines bâbord,
Boire un petit verre ensemble après tout cela en fin d’après-midi.
Le président n’est pas tombé de son échafaudage, mais il a tenu à faire une démonstration de lévitation devant les jardineuses médusées.
Pour respecter la règlementation sur la diffusion des images, nous lui avons coupé la tête. Signé : le peuple régicide.
Quant à Adrien, nous savons désormais ce qu’il faut lui offrir pour noël : une belle bétonnière orange à conduire, qui fait tût-tût.
Au terme de ces journées, qui ont vu disparaître nos derniers espars, il faut remercier chaleureusement tous les travaileurs et travailleuses des samedis du YCP, dont la mobilisation admirable fait progresser notre club. Merci supplémentaire et spécial à Thierry et Noureddine, dont la participation est d’autant plus méritoire qu’ils ne pratiquent pas encore les joies de la voile au YCP.
Tout s’est terminé comme prévu par un petit verre d’eau plate autour du bar.
C’est le petit qui est arrivé en dernier à chaque course dans la classe dériveurs qui va vous relater cette sombre journée humide qui restera inoubliable.
La météo nous avait promis une température clémente, pas de vent et de la pluie. Pour une fois, elle avait raison. Il est possible que ces prévisions aient fait fuir les hordes de concurrents. Ceux qui restaient eurent le plaisir, d’une part de contribuer au TELETHON comme prévu, et d’autre part de vivre une journée alpicoise plus spéciale que classique. Rappel pour ceux qui ne le sauraient pas, même s’ils l’ignorent, Alpicois = habitant du Pecq.
Que les préparatifs hâtifs de l’école de voile ne fassent pas illusion : il y a eu moins que peu de de dériveurs régatiers. Emmanuelle était claudiquante et Antoine sans doute retenu à la sortie d’une écluse. Noureddine, notre éminent chef du comité de course, le micro à la main, s’apprête non pas à chanter du Franck Sinatra, mais à canaliser (canal 72) l’ardeur des 5 équipages engagés. Photo prise par sa fille Meryam, qui était ce matin notre kinésithérapeute exclusive.
Sur chaque habitable, les 2 équipiers sont fin prêts et ne se regardent pas en chiens de faïence. Il va falloir rester stoïques dans le pot-au-noir. Certains ont à bord des sonars, des détecteurs de risées, des attrape-carpes, des compte-à-rebours et des lochs fonctionnant en marche arrière. Sera-ce utile ?
Le départ est donné. Le couple présidentiel étant resté amarré au quai le plus tard possible, il n’a pas reculé comme les autres concurrents. Une fois de plus c’est Carosse qui va le plus vite, mais en marche arrière pour l’occasion. Nous sommes tous bord à bord, les voiles légèrement gonflées, le moral de plus en plus dégonflé. Nous voyons au loin devant Poussah qui semble avoir franchi la ligne de départ, mais ce n’est qu’un mirage ondoyant dans les brumes de novembre. Lorsque l’un de nous finit par toucher la marque de parcours du « thermomètre » (pylône gradué qui bouge rarement de son emplacement) ; toucher avec son safran, il est temps d’appeler au secours pour empêcher que toute cette armada ne termine au Havre avant la nuit. Nous partîmes à reculons en bateaux à voile vers le Nord, et c’est en petit train à toute vapeur qu’à la file indienne derrière le canot’ de sécurité nous remontâmes vers le quai du club au Sud. Les contrastes consternants de la vie maritime.
La pause déjeuner a, pour une fois, été avancée, au point qu’elle a eu lieu à l’horaire annoncé au programme. Du jamais vu. C’était dans l’espoir qu’Éole se réveillerait de sa grasse matinée et nous réserverait de bonnes surprises après le café. En début d’après-midi, certains avaient déjà dégréé, votre narrateur en faisait partie, car il était manifeste que le vent soufflait certainement aux antipodes du Pecq mais n’avait rien laissé sur place. Cependant, notre trésorier plein d’espoir regagnait Ty Champ plein d’espars, et le président, avec une énergie et une détermination que certaines mauvaises langues, votre narrateur en faisant partie, attribuèrent à un supposé excès de boisson, avec la folle détermination de celui qui a vu une petite risée et prédit de fortes bourrasques à venir, regagnait son Poussah. Nous voyons supra notre comité de course Noureddine lancer le départ de 3 Cap Corse d’illuminés : Poussah (Jérôme et Iwona), Ty Champ (Éric et Gwenolé) et Solowskaia (Cédric et Marcelo). Marcelo le rouge, célèbre corsaire à la jambe de bois de la baie de Botafogo, qui reprend la navigation après une sévère blessure de combat (tout est vrai dans cette phrase à peine exagérée).
Avec une vitesse folle, les 3 Cap Corse arrivent même à franchir la ligne de départ et à progresser, en avant, faut-il le préciser, vers la bouée au vent. Votre pessimiste narrateur, observant du haut de la vigie ses copains progressant de façon inespérée, se laisse convaincre d’aller regréer son bateau et de les rejoindre. Noureddine, que l’optimisme des illuminés a conquis, pronostique même qu’ils peuvent être rattrapés par un concurrent prenant le départ un quart d’heure après eux. Christophe et Philippe n’entendent pas ce chant des sirènes et désarment soigneusement, s’en tenant imperturbablement aux faits.
La flotte de dériveur se met alors à l’eau et obéit aux prédictions de Noureddine pour arriver assez bien à rattraper les 3 Cap Corse qui peinent à atteindre cette damnée bouée au vent, terriblement mal placée. On a dit beaucoup de choses sur les courants compliqués du Cap Horn ; peut-être a-t-on un peu trop minimisé les phénomènes complexes qui ont cours dans les eaux des Pyramides de Marly, où l’on nous envoie sans précaution aucune. Ty Champ fut le grand sacrifié de cette course, dont on verra par la suite qu’elle fut déterminante. Parti comme une fusée, à 1 ou 2 nœuds en pointe, Ty Champ était le premier aux abords de la bouée, mais il a dû laisser passer les copains, ceux qu’il aurait certainement assassinés de bon cœur en cette occasion, Poussah virant le premier et envoyant même le spi, ce qui était assez gonflé ; le spi ne l’était pas. Puis Solowskaia et enfin la flotte de dériveur au complet ; flotte de dériveur qui regardait Solowskaia avec gourmandise et qu’elle dépassait ensuite au vent arrière en arborant le sourire fameux qui est l’apanage des grands psychopathes.
Tout cela était observé avec consternation par Noureddine et deux stagiaires venus en visite à la vigie. Rarement la vigie n’aura été autant fréquentée. Les deux stagiaires, bien jeunes d’esprit, arborant casquettes et vêtement bariolés, avaient antérieurement tagué la porte pour s’occuper et tâchaient de comprendre tous les dispositifs complexes que le comité de course manie avec maestria : jumelles à vision sous-marine, VHF Hi-Fi, PC renfermant les calculs XL ésotériques dont seul le président connaît les arcanes, micro pour insulter les capitaines de péniches, pavillons permettant de se faire comprendre quand on n’a rien à dire…
Croyant à l’impossible et ivres du succès de cette deuxième course de la journée, le comité et les équipages se lançaient dans une nouvelle procédure de départ. Ambiance survoltée, où Ty Champ comptait bien faire voir de quel bois classique alpicois il était fait pour prendre sa revanche. Cependant que la flotte de dériveur avait grand peine à atteindre la bouée au vent, les Cap Corse culaient inexorablement.
Au plus fort de la bataille, Les Cap Corse se retrouvaient à très peu de distance du pont. D’aucuns diront que la Terre est ronde (d’autres n’y croient plus) et qu’il est possible en allant vite au Sud de se retrouver au Nord, mais je crois que cette explication ne tient pas tellement la route pour rendre compte de ce qui s’est passé ce samedi. Les courants, le manque de vent sont des causes, hélas, plus probables.
La flotte de dériveur mettait 39 minutes à gagner la bouée au vent et à la virer, au prix de très nombreux virements réalisés dans un rayon de 10 mètres seulement de la scélérate, et mettait ensuite seulement 2 minutes, portée par le courant, pour regagner la ligne d’arrivée.
Ici, deux précisions s’imposent : d’une part le parcours avait été réduit à sa plus simple configuration ; la ligne, une bouée à virer et la ligne. Et c’était déjà beaucoup. Ensuite, certains auront remarqué l’expression « flotte de dériveur » avec une faute de grammaire ostentatoire. Le terme de flotte a surtout connu une belle acception ce jour-là, et c’est sur la tête des équipages que la flotte a été la plus présente en cette journée de météo irritante.
Braves compères qui ont enduré les intempéries pour assister les régatiers, David et Gilles avaient laissé leur bateau respectif à quai. Ils allaient et venaient, remorquant quand il le fallait, prodiguant des conseils merveilleux à la flotte de dériveur, encourageant les marins humides à garder le moral au sec. La voix de stentor de Gilles, les belles photos faites par David, tout cela a conduit à faire de ce fiasco un succès.
Merci à Noureddine et Meryam, grands responsables du comité de course, capables à 4 ou 2 mains de manier simultanément le chrono, le sifflet, les drisses à pavillons, la VHF, le cliquage sur PC, tout en regardant aux jumelles. Il faut un talent spécial.
Tandis que les gréements dégoulinants et les voiles trempées croupissaient dans leur misère, nos équipages, ou ce qu’il en restait en fin de journée se retrouvaient pour assécher un petit verre de ratafia bien mérité. Cédric, David, Gilles et mézigue sont hors du champ de cette photo.
🏆 Résultats Dériveurs
Pas de résultats officiels FFV car trop peu de concurrents, n’est-ce pas ? Le dernier du classement :
1️⃣ Guillaume Thibierge, sur Europe « Juanita Banana 5 », 1 course DNS, 2 courses terminées en tant que dernier mais aussi premier par la même occasion.
🏆 Résultats habitables
Il reste encore la Coupe de la Ligue à Créteil semaine prochaine pour les habitables, quelques semaines d’école de voile, peut-être des sorties pour dériveurs et habitables, mais cette régate était la dernière de l’année organisée par le YCP. À bientôt !
La Coupe Givrée, c’est le dessert que sert l’abominable homme des neiges aux abominables enfants teenage, un amour de dessert…
On vous avait promis un temps digne des soixantièmes hurlants et que s’est-il passé ?
Comme on pouvait s’en douter, un temps radieux et un soleil de marbre ont fait fondre un givre qui était de toute façon resté prudemment dans sa coquille.
Sous une petite bruine discrète, la matinée a commencé par un refus d’obtempérer de notre grue. Sous prétexte d’embrouillaminis de son fil d’alimentation, elle a boudé. Il a fallu que les capitaines d’habitables fassent les gros yeux, que le gabier président Jérôme monte dans la mature de l’échafaudage du club, qu’il tripatouille comme-ci et raboutaille comme ça, pour qu’enfin l’ouvrage d’art daigne entendre raison.
Pendant ce temps, David étudiait la carte des alizées et prévoyait son routage au milieu des icebergs absents.
David qui justement avait mis du baume au cœur d’Adrien en lui prêtant de nouveau sa bôme de Foehn qui fuit.
Avec un retard habituel d’une durée pour une fois inhabituelle, la réunion des élites avait lieu sur le quai sous la gouverne du gabier Jérôme et du grand chef du comité Noureddine. Samia étant là pour faire les photos du haut du pigeonnier.
Afin d’éviter les coups de bôme sournois au passage de cette satanée bouée au vent, le parcours banane avait été soigneusement découpé en deux, banana split, à l’initiative intelligente de Nicolas. Une bouée blanche vanille pour les habitables, et plus loin dans les latitudes Sud une bouée jaune citron pour les dériveurs.
Une première course avec un vent qui a décidé de faire la grasse matinée, au mépris d’une météo qui avait annoncé 9 nds avec des pointes à 15 nds. Mensonges intemporels de prévision du temps que nous ne relevons quasiment plus. La situation est connue quand on navigue vers le Sud : on passe glorieusement la ligne de départ, à la faveur d’une risée exceptionnelle, puis on cule d’une encablure, avant de repasser la ligne un bon quart d’heure après. Certains Corsaires ont vécu cette expérience à fond, sans se départir de la bonne humeur légendaire de leurs équipages.
Pierre, Frédérique et leur famille ont fait une visite d’inspection à l’heure du déjeuner. Déjeuner englouti rapidement car Noureddine est intraitable sur le compte à rebours des courses de l’après-midi. Ce qui était une bonne initiative de sa part car le vent avait décidé de pointer sa truffe timidement.
David, décidément très actif ce jour-là, a été la victime du fameux palan arrière de Laser. Cette merveille technologique, moult fois primée au panthéon de la vacherie universelle, et qui est responsable de millions de dessalages, a sévi sous une nouvelle forme : en passant au vent arrière près de la bouée vanille des habitables, le maudit palan a été faire un câlin avec la bouée. David s’est mis à tracter la bouée avec l’amarrage d’icelle, ce qui était trop présomptueux pour un Laser. David a dû bataillé pour se désenboustrailler de cette situation sans tomber à l’eau (Coupe Givrée ne voulant pas dire qu’on peut faire du patin à glace sur la surface de l’onde). Il n’existe pas de photo de cet événement que seuls les yeux des marins, humides de leurs rires de faux-frères, ont emmagasiné.
Les bouées qui attirent les bateaux, ce n’est pas une légende. J’ai moi-même entendu une petite musique qui semblait venir de cette bouée : « Ça me déplairait pas que tu m’embrasses, na na na, Mais faut saisir ta chance avant qu’elle passe, na na na, Si tu cherches un truc pour briser la glace banana juanita banana… »
Yuriy s’est fait accompagné d’une familiale section pour assurer sa mission de grand chef de la sécurité sur l’eau. La balade a visiblement été appréciée, avant un débarquement sur l’autre rive.
Pomalo et Forza sont les cerises couleur lipstick qui laissent des marques rouges sur l’antarctique et pour les faire fondre une tactique, banana banana banana… que l’on n’a pas.
Parmi les duels de la journée, signalons la lutte acharnée entre Carosse et Ty Champ, selon une habitude bien établie, et aussi un match-race entre Emmanuelle et votre serviteur, banana, na na na, banana… Il y en a eu d’autres évidemment. Il n’y a guère que Nicolas qui a joué régulièrement l’échappée solitaire loin devant la meute.
Fin de partie dans le local du club qui avait rarement connu une telle affluence en fin de régate.
Résultats dériveurs :
Bravo à Xavier et Antoine, dont c’était la première participation à nos régates. Ils ont tenu bon malgré la difficile progression contre le courant.
Résultats habitables :
Salut bien amical à Alain et Jean-Luc, que l’on n’avait pas vus sur la Seine depuis un joli bout de temps.
Bravo à Félix qui a efficacement assisté son capitaine Cédric pour monter sur le podium.
Bravo à Luc, fils et équipier de Bruno qui remporte le prix de la meilleure trogne de marin !
Bravo à tous pour votre participation nombreuse et votre bonne humeur. Remarquons à ce titre le jeune armada rassemblé autour de Sébastien et Adrien.
🥰 Yuriy, Noureddine et Samia : Merci pour avoir assuré la sécurité et le comité de course.
Noureddine, Samia, Yuriy, Iwona et Serge : merci pour les photos !
Cette régate était jadis réservée aux bateaux ayant plus de 25 ans, d’où son nom de « classique ». Tous les voiliers présents au club appartiennent à des séries ayant fêté leur mi-jubilé, donc bienvenue à tous pour notre régate
👒 Classique Alpicoise 🎩
Régate Classique Alpicoise au YCP du temps de Louis IV « le déboussolé », 1er roi Alpicois
le samedi 15 Novembre
dériveurs et habitables (Catégorie IND, OSIR, INQ / 5B)
Pour participer à cette régate, il est exceptionnellement demandé une participation minimum aux frais de 15 euros, chacun est libre de verser un montant supérieur au montant de l’inscription (la somme sera entièrement reversée au bénéfice du TÉLÉTHON).
La régate est ouverte à tous, y compris les membres de l’école de voile. Les concurrents arborant une tenue classique seront prioritaires
Et de verser votre participation de soutien au TÉLÉTHON de 15€ ou plus, par virement (rib ici, ou le même rib là) en mentionnant votre nom dans l’intitulé du virement, ou règlement en espèces le matin de la régate auprès du vice-président trésorier (que l’on trouve souvent en tête de la flotte).
Le matin, RDV à la base du YCP, grutage à partir de 8h
10h petite réunion d’instructions sur le quai
Départ de la régate 10h30 (enfin… comme d’habitude !)
Déjeuner vers 12h00, pensez à apporter votre pique-nique !
Reprise de la voile vers 13h00 pour les courses de l’après-midi ; plus de départ après 16h
Remise des prix habitables et dériveurs vers 16h
Pour les membres de l’école de voile
– Merci d’envoyer largement avant le jeudi 13 Novembre vos souhaits d’équipage et de type de bateau à l’adresse e-mail de l’École de Voile, afin que nous puissions vous retourner votre n° de voile avant que vous ne procédiez à votre inscription en ligne. La répartition de la flotte se fera en fonction de vos souhaits, vos gabarits et l’ordre d’arrivée des demandes.
– L’École de voile et ses types de bateaux : École de voile
💁🏻 Bourse aux équipiers
Capitaine, vous cherchez une équipière ; équipier, vous cherchez une barreuse ; et toutes les variantes de ce genre se règlent sur ce groupe Whatsapp :
La première page du site comporte des articles. En remontant le temps qui descend le long de la fameuse page, vous trouverez les photos, les résultats, les compte-rendus. Farfouillez aussi du côté du menu « Régates ».
🤨 Autres renseignements ?
Pour tout complément d’information, n’hésitez pas à relire attentivement cette page détaillée à utiliser la liste des contacts ou notre formulaire de contact.
Vous pensiez aller vous geler dans les quarantièmes rugissants, les soixantièmes décapitants, ou quelque lac de Sibérie. Il y a mieux et nettement moins glaçant : participez à notre traditionnelle
🥶 Coupe Givrée 🥶
Je ne sais pas si cette coupe est givrée, mais l’illustrateur l’est manifestement.
le mardi 11 Novembre
dériveurs et habitables (Catégorie IND, OSIR, INQ / 5C)
Certains médisants médusés prétendent même qu’il n’y a jamais de givre lors de cette régate, et que la pratique du bronzage y est une habitude. Vous nous direz.
La régate est ouverte à tous, y compris les membres de l’école de voile. La présence des participants le jour de la régate est vivement conseillée.
Le matin, RDV à la base du YCP, grutage à partir de 8h
10h petite réunion d’instructions sur le quai
Départ de la régate 10h30 (enfin… comme d’habitude !)
Déjeuner vers 12h00, pensez à apporter votre pique-nique !
Reprise de la voile vers 13h00 pour les courses de l’après-midi ; plus de départ après 16h
Remise des prix habitables et dériveurs vers 16h
Pour les membres de l’école de voile
– Merci d’envoyer largement avant le dimanche 9 Novembre vos souhaits d’équipage et de type de bateau à l’adresse e-mail de l’École de Voile, afin que nous puissions vous retourner votre n° de voile avant que vous ne procédiez à votre inscription en ligne. La répartition de la flotte se fera en fonction de vos souhaits, vos gabarits et l’ordre d’arrivée des demandes.
– L’École de voile et ses types de bateaux : École de voile
💁🏻 Bourse aux équipiers
Capitaine, vous cherchez une équipière ; équipier, vous cherchez une barreuse ; et toutes les variantes de ce genre se règlent sur ce groupe Whatsapp :
La première page du site comporte des articles. En remontant le temps qui descend le long de la fameuse page, vous trouverez les photos, les résultats, les compte-rendus. Farfouillez aussi du côté du menu « Régates ».
🤨 Autres renseignements ?
Pour tout complément d’information, n’hésitez pas à relire attentivement cette page détaillée à utiliser la liste des contacts ou notre formulaire de contact.