Il n’est pas trop tard, il reste des places disponibles !
Chaque année, le Yacht Club du Pecq organise plusieurs stages de voile ouverts à tous à partir de 8 ans. Au printemps, en été et à l’automne. Ces stages, organisés sur le plan d’eau du club et encadrés par des moniteurs agréés, permettent de s’initier ou de se perfectionner à la navigation à la voile.
Le prochain stage sera programmé pendant les vacances d’automne du :
Lundi 20 au Vendredi 24 Octobre 2025
Pour tout renseignement que vous ne trouveriez pas en lisant cette page, n’hésitez pas à contacter le responsable de l’école de voile par email ecole-voile@ycpecq.fr, ou éventuellement laissez un message téléphonique au 06 99 81 78 78.
Nous acceptonsles chèques-vacances ANCVet les Tickets Services CAP
Il est également possible de réaliser votre paiement par virement bancaire en utilisant le RIB disponible ici. Merci de préciser votre nom dans le libellé du virement afin de bien le rattacher à votre inscription.
Tous les dériveurs de l’école de voile sont disponibles, et attribués en fonction du niveau du stagiaire : RS Feva, Équipe, 420, Laser, Albatros, etc…photos de la flotte disponibles ici
Tous les stagiaires doivent être en possession :
– d’une licence FFV en cours de validité. Elle est souscrite d’office si le stagiaire n’en a pas au préalable. – d’un certificat médical précisant la non-contre-indication à la pratique de la voile OU QUESTIONNAIRE RELATIF A L’ETAT DE SANTE D’UN SPORTIF SANS AUCUNE REPONSE « OUI » (à télécharger ICI) . Il faut également précisertouteallergie. – d’un brevet de natation pour une distance minimum de 25 mètres. Ou, à défaut, attestation signée. Modèles à télécharger : Attestation aptitude de nage pour mineur ou Attestation aptitude de nage pour majeur) – d’un repas / sandwich pour la pause déjeuner et éventuellement le goûter en fin de séance. – d’une tenue de rechange chaude car l’eau peut mouiller et le vent rafraîchir !
Équipement minimum pour que le stagiaire passe un bon moment : – Vêtement de pluie (Ciré, K-Way, Gore-Tex,…), – Vêtement chaud (éviter le coton qui sèche très lentement), – Tennis en toile légère ou bottillons, – Casquette, bob, …, – Crème solaire, – Lunettes de soleil (avec cordon, idéalement flottant), – Un change complet, – Nécessaire de toilette (gel douche, serviette et gant de toilette).
Ci-dessous quelques photos des stages précédents :
Y’a plus d’saison, ma bonne dame, c’est pour ça que notre régate d’automne s’est déroulée en plein été, ce samedi 11 octobre. Voici comment, où et dans quel but.
Je vais tâcher de vous raconter cette journée héroïque.
Tout d’abord et commence par le gréement des bateaux, phase où les muscles du cerveau suivent des yeux ceux du corps, sans trop se laisser aller. C’est là que nous trouvons les deux compères de Ty Champ, qui sont les héros de cette journée. Ils règlent avec minutie les mille bouts de leur canot (prononcer boute et canote, c’est évidente) en fonction de la météo qu’ils ont lue le matin même dans la Gazette Alpicoise.
Avis de force 2 avec quelques risées plus consistantes l’après-midi. Il fallait donc repasser les spis pour qu’il n’y ait aucun pli. Philippe surveille son capitaine qui est monté en haut du mât de Gépéto pour régler le truc du machin qui s’était pris dans le bidule du chose. C’est authentique, il est vraiment monté. Ce gars Gilles agile est d’ailleurs le héros de la journée.
Les équipages se préparent. Certains sont venus en véritables troupeaux ; pourtant il n’y aura pas de moutons aujourd’hui sur l’onde calme. Les Sébastien, Tristan, Juliette, Soraya, Matthieu et Théo (je n’en ai pas oublié, cette fois-ci) ont des bottes en bas et des sourires en haut.
Yuriy, le héros de la sécurité de la journée, juste avant d’embarquer dans son canot orange, accueille notre nouveau comité de course en la personne de Noureddine, qui sera le héros de cette journée à la vigie et au chronomètre. Il sera secondée par Samia, héroïne de la journée, qui sera notre photographe officielle.
On se réunit pour écouter avec une distraction attentive les consignes de notre président préféré, ce héros arborant avec élégance la casquette du YCP. J’ai personnellement retenu de ce discours qu’il y aura deux bouées à virer au vent.
Les bateaux s’élancent, en tâchant de ne pas laisser leurs équipages à terre. Les disciples de l’École de Voile démarrent au même moment, c’est à dire quasiment à l’aube. Ils sont eux aussi les héros de la journée.
On va flairer la ligne de départ, sonder de chaque côté en repérant discrètement le côté qui semble à chacun être le plus favorable. C’est finalement le côté du milieu qui remportera l’adhésion la plus large.
Et c’est parti pour une série de courses orchestrées de main de maîtres par Noureddine, Samia et Yuriy. Quelques mousses-tâches égarés iront chercher dans on ne sait quelles contrées lointaines des bouées de dégagement alors qu’ils pourraient se contenter de celle qui est juste devant leur étrave. Ce ne sont pas les héros de la journée. David, fidèle compère, héros méconnu, aura le fair-play d’indiquer le bon chemin une fois qu’il aura lui-même compris l’erreur.
Le petit temps nous joue son air d’accordéon habituel où les premiers sont rejoints et doublés par la meute des poursuivants. Rendez-vous à la bouée sous le vent où le fameux embouteillage du Pecq sévit ce matin-là. On joue d’écoutes et de bômes pour impressionner les voisins, qui en ont vu d’autres. Le courant fort de la marée descendante rend le passage de bouée assez délicat. Le flegme britannique de la jeune Aahna, véritable héroïne de la journée, en impose à tous.
Les heures ayant tourné vite, comme toujours quand on s’amuse, il est temps de regagner le quai et de passer au pique-nique.
Différentes tablées générationnelles se constituent. Il faut remarquer la présence à la table de Philippe d’un pâté par lui cuisiné qui ferait rougir de honte la famille de Loïc, Yann et Soizic Hénaff. Le pâté de Philippe, héros de la journée, dépasse de loin tous ce que cette famille a pu produire depuis des lustres. Du côté des jeunes, les réserves de bières descendent avec une bonne vitesse de courant. La bonne humeur règne et il faut remarquer la jeune SO-SO qui ne quitte pas son gilet de sauvetage, malgré toutes les remarques des passants. Ne faudrait-il pas plutôt la surnommer S.O.S-Eau ? Bon, laissons Soraya, héroïne de la journée, en paix et finissons notre repas avant de regagner la mer.
Le vent est monté d’un cran mais reste du genre mollasson. Remarquez ce beau Cap Corse, le POMALO, qui a un air de déjà vu dans le club et qui a été splendidement préparé par Bruno, lequel est ici flanqué de son équipier Jean-Marie, tous deux héros de la journée. Les courses s’enchaînent avec du soleil, quelques bords au rappel, parfois en croisant les bateaux de l’École de Voile. Certaine ont du mal a quitté le quai à cause d’une drisse qui fait la grève le long de son éponyme. Une autre, combative comme une lionne, doit raccrocher son X4 fétiche en milieu des courses car elle a des affaires qui l’attendent ailleurs ; tout le monde aura reconnu Coralie, véritable héroïne de la journée. Ça bataille dur entre les Laser et les Europe et le 420 du solitaire Russ, héros de la journée, abandonné par son jeune équipage. Les courses finissent assez tôt, avant 16h.
Pour accueillir les héros du jour qui s’arrêtent et remontent leurs bateaux, une impressionnante délégation officielle de la mairie du Pecq s’est mobilisée. Raphaël, qui est notre héroïque meilleur supporteur, avait perdu la voix (les élus souvent en cherchent) à force de nous encourager depuis la rive. Madame le maire et Anne-Laure écoutent les balivernes passionnantes de notre vice-président Phiphi.
Le vent, ce héros timide de la journée, ayant décidé de continuer à tenir les nuages à l’écart, les coureurs vigoureux continuent d’en profiter à s’en faire péter le gilet de sauvetage. Les spectateurs Frédérique et Pierre apprécient le spectacle, même si Pierre préfèrerait que son bateau en carénage soit aussi sur l’eau. Tout cela prend malgré tout fin. L’École de Voile revient, tout le monde dégrée, nettoie et range.
Cette belle régate n’aura été possible que grâce aux admirables et vraiment particulièrement héroïques amis : Noureddine et Samia au comité de course à la vigie, et Yuriy dans le canot de sécurité sur les ondes. Samia et Noureddine sont aussi les photographes héros de la journée. Merci à Iwona et Serge, héros de la journée et habituels pourvoyeurs de photos au cœur de l’action.
L’heure des résultats a sonné :
🏆 Tout le monde a gagné ! 🏆
Oui, oui, c’est vrai ! Et c’est même presque véridiquement prouvé.
Un peu de sérieux avant la fin : par suite d’une erreur de manipulation informatique en transférant les temps sur le site FFV, certaines infos de courses ont été perdues 😰. Nous en sommes désolés. Les bénévoles qui s’en occupent seront fouettés. Il en résulte des résultats qui doivent être justes mais… en gros ! La FFV a changé d’outil récemment, SCORE à la place de FREG, et cela nous complique bien les choses. Toutes nos excuses.
Dans ces conditions, voici les résultats officiels :
Habitables
Dériveurs
Espérons que le temps sera aussi agréable pour la prochaine régate, que le comité de course sera aussi sympathique, que les concurrents seront nombreux et héroïques, et que les dieux de l’informatique nous seront plus favorables.
De votre humble envoyé spécial
Guillaume
qui a eu le plaisir d’être le véritable héraut de cette journée
À l’automne, il est dangereux de se promener en forêt. Les marrons vous tombent sur la tête, les châtaignes veulent vous transpercer, les cerfs vous brament dessus, les feuilles qui tombent vous recouvrent et les sangliers vous prennent pour un jeu de quilles. Il vous est donc conseillé de participer de préférence à notre
🍂 Régate d’Automne 🍂
le samedi 11 Octobre
dériveurs et habitables (Catégorie IND, OSIR, INQ / 5B)
pile au moment où le soleil est au-dessus de l’horizon ; le YCP étant situé, au dernier relevé, entre les tropiques du cancer et du capricorne.
La régate est ouverte à tous les adhérents et membres de l’école de voile. Pas besoin de carton d’invitation, mais tenue correcte exigée.
Le matin, RDV à la base du YCP, grutage à partir de 8h
10h petite réunion d’instructions sur le quai
Départ de la régate 10h30 (enfin… comme d’habitude !)
Déjeuner vers 12h00, pensez à apporter votre pique-nique !
Reprise de la voile vers 13h00 pour les courses de l’après-midi ; plus de départ après 16h
Remise des prix habitables et dériveurs vers 16h
Pour les membres de l’école de voile
– Merci d’envoyer largement avant le jeudi 9 Octobre vos souhaits d’équipage et de type de bateau à l’adresse e-mail de l’École de Voile, afin que nous puissions vous retourner votre n° de voile avant que vous ne procédiez à votre inscription en ligne. La répartition de la flotte se fera en fonction de vos souhaits, vos gabarits et l’ordre d’arrivée des demandes.
– L’École de voile et ses types de bateaux : École de voile
💁🏻 Bourse aux équipiers
Capitaine, vous cherchez une équipière ; équipier, vous cherchez une barreuse ; et toutes les variantes de ce genre se règlent sur ce groupe Whatsapp :
La première page du site comporte des articles. En remontant le temps qui descend le long de la fameuse page, vous trouverez les photos, les résultats, les compte-rendus. Farfouillez aussi du côté du menu « Régates ».
🤨 Autres renseignements ?
Pour tout complément d’information, n’hésitez pas à relire attentivement cette page détaillée à utiliser la liste des contacts ou notre formulaire de contact.
De notre compère Greg, envoyé spécial au Havre les 20 et 21 septembre.
Plus actif dernièrement en paddle sur la Seine qu’à bord de mon vaillant mais plus trop étanche 420 Charivari (d’ailleurs je suis à la recherche d’un expert en résine pour m’aider à étanchéifier la bête), j’ai eu l’occasion de participer une nouvelle fois à l’Alumni’s Cup organisée tous les ans par la société des régates du Havre.
Mais cette fois en représentant les couleurs du YC du Pecq.
Une météo un peu plus ventée que les éditions précédentes, mais assez capricieuse du fait d’orages périphériques ainsi qu’une belle houle résiduelle, nous a enfin permis de tirer parti d’une jauge plutôt tolérante en ce qui concerne le poids maximal de l’équipage.
C’est en outre cette spécificité qui fait que nous apprécions particulièrement cette course au format original puisqu’elle rassemble des équipages dont une majorité de membre doit provenir d’une même école. En l’occurrence Ecole Ingénieur 2000 ; je fais partie de ceux qui n’en font pas partie.
Autre point particulier, elle comprend une manche non annulable, la course aux dons qui invite les équipages participants à récolter chacun une cagnotte pour l’antenne locale de la SNSM, partenaire de l’évènement.
Quelques unités rutilantes de propriétaires venaient se mêler à une flotte un peu plus amortie mais bien entretenue de J80 que les clubs de Deauville et du Havre mettent à disposition des équipages pour atteindre une flotte d’une quinzaine d’unités.
Après 8 manches âprement disputées le long d’un parcours côtier au cours du weekend, notre équipage Melting Potes à réussi à pallier son déficit de vitesse par des départs osés et quelques coups tactiques bien inspirés pour finir sur la seconde marche du podium.
Avec un vent de tous les bœufs, à décorner les diables, la régate de la Coupe du Président a eu lieu samedi 13 septembre au YCP. Le déjeuner de moules-frites idéalement placé en milieu de journée a été d’un grand secours.
Voici mon compte-rendu dans un premier temps. Il y aura une autre vision des choses à la fin.
Tout a commencé le matin par des préparatifs coutumiers sous un soleil chauffant de frais un paysage seinique d’été indien,
une saison qui n’existe que dans le nord ouest de notre contrée.
Elena, avec ta combi en néoprène, tu ressemblais à une aquarelle de Marie Laurencin. (aquarelle = peinture à l’eau, et ça Elena, de l’eau, tu en as eu ce matin là).
Si certains, dès à présent, ne comprennent pas certaines phrases, qu’ils soient rassurés : C’est soit qu’ils sont normaux, soit qu’ils sont trop jeunes pour connaître le tube de l’été 1975.
De nouveaux régatiers très souriants qui ont raison de faire le V de la victoire, des quinquas qui transmettent leur savoir. Une ancienne régatière qui prend une place à bord du Car(r)osse de Christophe, et une joyeuse bande de jeunes corsaires dont la bonne humeur semble inaltérable.
Les Europes, pressés d’en découdre des ralingues, sont les premiers sur l’eau, cependant que le président s’occupe inlassablement de tous les préparatifs. Ici, inspection en règle de la vigie, sorte de chambre de bonne volonté suspendue entre terre et ciel. Il regarde au loin cette vague qui n’atteindra jamais la dune.
Sous la direction de Delphine, personnage central, aussi à l’aise à la corne de brume qu’à la friteuse, les hostilités prévues à 10h30 sont lancées avec une belle avance vers 11h, ce qui est étonnamment habituel. Les as du départ optimal sont à la manœuvre et font régner la terreur le long de la ligne.
Dès les premiers bords vers le Sud, les vigoureuses risées du matin nous imposent de ne pas pouvoir aller où tu voudras, quand tu voudras, et on louvoiera encore, même quand l’été sera mort.
Les premières victimes dessalent et restent bien longtemps à patauger, certains égarés ne comprennent que tardivement qu’il y avait une bouée à virer dans le grand Sud. Les Cap Corse déboulent au vent arrière. Pas un temps à sortir les spis.
La caravelle d’Hubert, avec ses belles voiles bien repassées, et sous la gouverne assurée de Serge arrive première des dériveurs en temps réel. Le temps compensé, ce traitre des horloges, viendra mettre la zizanie dans les pronostics. C’est un plaisir de voir cette honorable vieille dame du club reprendre du service pour de nouvelles et prometteuses aventures.
Les courses s’enchaînent et laissent plusieurs compétiteurs à quai qui finissent par se lasser de ces bourrasques décoiffantes.
Nos barquettes amarrées à quai sont délaissées le temps d’un déjeuner bien mérité où nous nous attaquons à d’autres barquettes savoureusement remplies.
L’un, fidèle à son Coca, l’autre à son cidre, d’autres au kir ou à l’eau, tous en tout cas dévorent les moules et frites que Delphine et Luc préparent à tour de bras.
Une joyeuse tablée accueille tous les amis, régatiers, familles qui sont heureux de se retrouver pour cette rentrée qui est aussi le premier jour pour les nouveaux membres de l’école de voile. C’est ainsi que Guillaume et Sandrine font connaissance avec Guillaume et Sandrine.
Mais les meilleures faims ont une chose
à poursuivre et il faut songer de nouveau à gagner la coupe du président qui ne sera décernée qu’au terme de 3 nouvelles courses à disputer.
Les conditions restent musclées, les concurrents au ventre désormais bombé doivent faire le dos rond.
Les rafales à plus de 20 nœuds sont encaissées avec plus ou moins de souplesse.
Ça bataille dur entre Ty Champ, Poussah et Carosse. Christophe ne lâche rien, sécondé par Sandrine, mais les deux Cap Corse en veulent. Éric et Gwénolé sont à leur affaire. Les voiles neuves font entendre leur bruit. Jérôme et Iwona leur collent la pression. Cédric avec Cyril et la bande des jeunes Corsaires bataillent aussi un peu sous le vent.
Quant aux dériveurs survivants, la Caravelle et votre serviteur européen, ils en veulent aussi et font juste attention de ne pas se faire trancher en deux par les habitables qui foncent.
Selon l’institut des poids et mesures, l’Europe que j’ai l’honneur de…, a même battu son record de vitesse désormais à 10,86 nœuds. 14 milles parcourus. La moyenne ne veut rien dire car le bateau n’a guère avancé sur le quai pendant les moules-frites.
La pluie a eu la décence de ne sévir qu’à partir de 16h30, nous laissant presque le temps de ranger nos voiles et notre fourbi. L’école de voile a terminé après la régate, avec de nouveaux membres qui ont eu une journée particulièrement… vivifiante. Autant qu’il m’en souvienne, mon premier cours de voile avait eu lieu dans des conditions nettement plus clémentes, il y a un an, il y a un siècle, il y a une éternité.
Ici il faut remercier avec insistance ceux qui ont fait la réussite de cette journée : Le président, son vice-président trésorier qui ont fait les courses ; celles qui se mangent, surtout, et bien sûr celles qui se courent ; le comité de cette régate avec Delphine, Timothée, Pierre au chronomètre de compétition, Nicolas et sa voix de stentor, Emmanuelle qui a sonné de la trompe et qui organise les régates, et enfin notre joyeuse bande de nouveaux amis navigateurs sur Corsaire : Sébastien, Tristan, Arthur, Adrien (et l’un que j’omets, qu’il me pardonne) qui se sont relayés tout au long de la journée pour assurer la sécurité dans la barquette aux couleurs de l’été indien.
L’heure des comptes a finalement sonné dans le club, autour d’un petit verre, pour ceux qui avaient eu le courage de patienter. Éric, personnage clé, est au four et au moulin et notamment aux moulinettes des résultats chronométrés de la FFV.
🏅 dans la catégorie Dériveurs :
Serge, barreur de Caravelle, Guillaume et Emmanuelle, europistes
🏅 dans la catégorie Habitables :
Éric et Gwénolé, Cap Corse Ty Champ, Iwona et Jérôme, Cap Corse Poussah, et Sandrine, nouvelle adhérente équipière qui représente son capitaine Christophe, du Maraudeur Carosse
Bravo à tous les concurrents, qu’ils soient sur le podium ou pas. Il fallait avoir du cran pour courir ce samedi avec ces rafales de Sud dignes des latitudes rugissantes. Régatiers ou élèves de l’École de Voile, vous avez été braves !
Mais ce compte rendu est-il bien terminé ? Pas du tout !
Voici le compte rendu en image de notre jeune ami Marco, fils de Marcelo
Il a tout vu, il a tout noté, il a dessiné la régate. Voici donc tout résumé dans son carnet :
Rendez-vous à la prochaine régate, dans une éternité, dans un siècle, dans un an ?
Mais non dans moins d’un mois ! Pour la régate d’automne, celle de l’été indien, le vrai cette fois-ci, avec la participation de nombreux bateaux. Et pourquoi pas de tous les propriétaires et de nombreux amis de l’école de voile ?